La machine étatique semble paralysée, pendant que les gangs étendent leur territoire, impunément.La collaboration attendue entre Didier Fils-Aimé et le directeur général de la Police nationale s’est transformée en un spectacle de désaccords stériles. Résultat : ni à Kenscoff, ni à Mirebalais, ni à Pernier, les interventions de la police n’ont inspiré confiance.

Au contraire, elles ont renforcé le sentiment d’abandon chez une population prise en étau entre l’inaction de l’État et la brutalité des groupes armés.Le CSPN ne manque pourtant pas de moyens. Mais sous la direction de Fils-Aimé, ces ressources ne parviennent ni à freiner l’hémorragie de territoires perdus, ni à enrayer les assassinats de policiers, de plus en plus fréquents.

Le dernier en date, celui de l’agent Esdras Hilaire, tué le 4 juin à Pacot, illustre une situation qui ne fait qu’empirer.Dans un tel contexte, parler d’élections relève du cynisme. Comment prétendre organiser un scrutin alors que les candidats ne peuvent pas faire campagne, les électeurs vivent dans la peur, et les centres de vote risquent à tout moment d’être attaqués ?

Ce serait entériner une mascarade électorale, dictée par les armes et non par la volonté populaire.Tant que le CSPN, sous la houlette de Didier Fils-Aimé, reste incapable de restaurer l’autorité de l’État et de sécuriser le territoire, toute tentative de processus électoral n’est qu’un leurre.

Pire encore : un enterrement de la démocratie sous les bottes des bandits.

Pour le directeur général de l’Office, l’ingénieur agronome Vikerson Garnier, il s’agit d’une étape importante dans une démarche qu’il qualifie d’essentielle : « Ceux qui travaillent méritent une certaine sécurité dans leurs postes. Et cette sécurité leur permet de fournir de bien meilleurs résultats », a-t-il affirmé.

Le directeur général a également exprimé sa volonté de mettre fin au système des contrats temporaires, qui selon lui pose souvent problème dans le fonctionnement des services publics. « À chaque fois que j’en ai l’occasion, je vais poursuivre le processus de nomination, service par service », a-t-il assuré.

Par ailleurs, M. Garnier appelle les employés à donner le meilleur d’eux-mêmes, rappelant que l’OFATMA a une responsabilité de taille envers ses assurés : offrir un service de qualité, sans compromis.

Il convient de souligner que depuis son arrivée à la tête de l’Office, Vikerson Garnier a déjà procédé à la nomination d’une quarantaine de contractuels, consolidant ainsi une dynamique de stabilité et de professionnalisation au sein de l’institution.

Les échanges ont permis d’aborder plusieurs priorités, dont la mise en œuvre de programmes éducatifs innovants, l’amélioration des infrastructures scolaires et le renforcement des capacités pédagogiques. Ces axes stratégiques, souligne le communiqué, visent à répondre aux défis persistants du système éducatif haïtien tout en jetant les bases d’un partenariat durable et efficace.

Les parties prenantes ont insisté sur la nécessité d’un engagement concerté pour garantir un accès équitable à une éducation de qualité, en particulier dans les zones les plus vulnérables. Des pistes concrètes de collaboration ont été discutées afin de mieux cibler les besoins urgents et de proposer des solutions adaptées.

À travers cette initiative, le FNE affirme sa volonté de renforcer ses liens avec ses partenaires internationaux. D’autres rencontres de travail sont déjà envisagées dans les semaines à venir, dans l’objectif de traduire les engagements pris en actions concrètes sur le terrain.

Une mission placée sous le signe de l’engagement

Dans une allocution empreinte de solennité, Frantz Elbé a exprimé sa fierté et son sens du devoir :

« C’est à la fois une responsabilité et un privilège que d’intégrer une structure régionale de cette envergure, au service de la paix et de la solidarité interaméricaine », a-t-il déclaré.

Il a également rappelé son attachement profond au système interaméricain, en soulignant avoir été lui-même ancien étudiant du Collège Interaméricain de Défense, une école de formation stratégique réputée.

Hommage à son prédécesseur

Le nouveau délégué haïtien a tenu à saluer son prédécesseur, Pierre Michel Bonnet, pour le sérieux et le dévouement avec lesquels il a défendu les intérêts d’Haïti durant son mandat. Il lui a adressé ses félicitations et ses meilleurs vœux de succès dans ses nouvelles fonctions à l’Ambassade d’Haïti au Mexique.

Répondre aux défis sécuritaires régionaux

Frantz Elbé n’a pas éludé les défis de l’heure. Dans son discours, il a évoqué les tensions sécuritaires grandissantes dans l’hémisphère, et plus particulièrement la situation critique que traverse Haïti.

« La Junte Interaméricaine de Défense est bien plus qu’un organe technique ou militaire. Elle incarne une vision partagée de la paix régionale, de la prévention des conflits et de l’assistance mutuelle », a-t-il affirmé.

Il a réitéré son engagement à travailler de manière étroite avec les représentants des autres États membres, dans un esprit de coopération, de respect mutuel et d’efficacité.

Un positionnement stratégique pour Haïti

Cette nomination intervient dans un contexte de crise sécuritaire multidimensionnelle en Haïti. Le choix de Frantz Elbé, fort de son expérience de terrain à la tête de la PNH et de sa formation stratégique, vise à renforcer la présence d’Haïti au sein des instances régionales de sécurité.

Par cette désignation, les autorités haïtiennes entendent porter une voix plus forte dans les discussions sur la sécurité hémisphérique et participer activement aux efforts de stabilisation et de coopération.

Dans son discours, la directrice générale du FNE, Mme Sterline Civil, s’est réjouie de cette inauguration, qui coïncide avec ses cent premiers jours à la tête de l’institution. « Ce moment n’est pas seulement une célébration de la construction de bâtiments ; il est la consécration d’un rêve partagé, celui d’offrir à nos enfants les clés de leur avenir », a-t-elle déclaré, visiblement émue.

100 jours d’engagement et d’action

Mme Civil a dressé un bilan positif de ses premiers mois à la tête du FNE. Elle a mentionné la signature d’un protocole d’accord avec le Programme des cantines scolaires afin de garantir un repas chaud à chaque élève. Elle a aussi souligné l’appui du FNE à la relocalisation de l’Université d’État d’Haïti (UEH), menacée par l’insécurité, ainsi que le soutien aux associations œuvrant pour l’éducation inclusive.

Par ailleurs, plus de sept écoles dans les Nippes ont déjà été dotées de nouveaux mobiliers scolaires, selon la DG du FNE.

Antoine Augustin plaide pour une éducation de qualité

De son côté, le ministre Antoine Augustin a salué cette réalisation qu’il considère comme une étape majeure dans le cadre de la politique d’amélioration de la qualité de l’éducation en Haïti. Il a insisté sur l’importance de maintenir et de protéger ces infrastructures : « Si le FNE a construit, il revient à vous de les protéger », a-t-il déclaré.

Le ministre a également plaidé en faveur d’une nouvelle vision de l’école haïtienne, une école qui ne soit pas seulement centrée sur les savoirs académiques, mais aussi sur la transmission de valeurs humaines telles que le respect, la solidarité, l’éthique et la citoyenneté. « Il est urgent de bâtir une école qui forme des citoyens responsables, engagés pour leur pays et respectueux des autres », a souligné Antoine Augustin.

Face aux nombreux défis du secteur, le ministre a appelé à l’unité pour résoudre les problèmes urgents tels que la régularisation des enseignants et l’émission des cartes de débit. Il a également exprimé son soutien à Mme Sterline Civil et promis de collaborer étroitement avec le FNE pour continuer à répondre aux besoins du système éducatif.

L’activité a été réalisée en présence des autorités départementales des Nippes de l’education et des centaines d’écoliers.

Cette initiative du Fonds National de l’Éducation vise, selon les deux responsables, à apporter un appui à ces parents qui font face à des moments difficiles en raison de leur déplacement interne pour cause d’insécurité.

Quelques jours après son arrivée à la tête du Fonds National de l’Éducation, Mme Civil avait déjà lancé une enquête en vue de recenser les écoles et les familles victimes de l’insécurité, en vue d’un accompagnement, comme l’avait demandé le ministre Antoine Augustin. Cette démarche témoigne de la volonté ferme du gouvernement d’identifier les besoins urgents et d’apporter un accompagnement adapté aux populations les plus vulnérables.

Ces parents, les premiers bénéficiaires du programme, ont fait part de leurs joies. « Je pensais que nous étions oubliés, mais ce chèque va vraiment nous aider à couvrir quelques frais pour mes enfants », a confié une mère déplacée de Carrefour-Feuilles. Ils remercient le FNE, le MENFP et le gouvernement qui avaient pensé à eux dans un contexte particulièrement difficile.

D’autres parents vont recevoir bientôt ce support du FNE, ont fait savoir les responsables lors de cette remise tenue aux locaux du MENFP, ce samedi 24 mai 2025.

Cap-Haïtien, 22 mai 2025 – Lors de sa visite le samedi 17 mai, Mme Civil a découvert des bâtiments en ruine, un mobilier inexistant et des conditions d’apprentissage qu’elle a qualifiées d’« indignes ». « J’ai vu la vidéo, j’ai été touchée, et j’ai décidé de venir constater par moi-même pour agir rapidement », a-t-elle déclaré à la presse locale.

Elle a promis une intervention urgente dès son retour à Port-au-Prince, précisant que l’école bénéficierait d’un soutien structurel de la part du FNE. « Le directeur fait ce qu’il peut, mais il est clair que cette école a besoin d’un appui immédiat », a-t-elle souligné.

Valéry Marilus, directeur de l’établissement, a salué cette visite comme « un miracle » dans un contexte marqué par l’abandon. Il a rappelé avoir alerté les autorités à plusieurs reprises, bien avant la diffusion de la vidéo.

Pour les parents et les habitants du quartier, cette visite représente un signe d’espoir et une possible sortie de l’oubli.

Le sang a coulé sur cette terre abandonnée, sous le regard absent de l’État. Parmi les victimes, le pasteur Jacques Brutus, pilier moral de la communauté, abattu sans pitié.Ce massacre, méthodique et sauvage, s’ajoute à une litanie de crimes impunis qui rongent le pays. Préval est devenue le théâtre d’une violence qui ne surprend plus personne, tant elle s’est normalisée.

Les corps s’empilent, les larmes coulent, mais les autorités, elles, restent muettes.Auto Défense agit avec arrogance, certain de l’impunité. L’État, spectateur impuissant ou complice silencieux, laisse les citoyens à la merci des balles.

Plus qu’un drame local, cette tuerie est le reflet d’un effondrement national.

Jusqu’à quand les Haïtiens devront-ils vivre sous la menace permanente ? Jusqu’à quand les bourreaux seront-ils protégés par l’oubli ? Préval crie justice, mais qui l’entend encore ?

1) Le rétablissement de la sécurité ;
2) le financement des programmes de réhabilitation des déplacés internes ;
3) ⁠le départ du Conseil présidentiel de transition (CPT) ;
4) le choix d’un juge à la Cour de cassation comme président provisoire selon la constitution de 1987
5) et l’organisation d’élections libres, honnêtes et démocratiques.

*AKSYON PATRIYOTIK (A.P) dénonce avec vigueur les dépenses excessives et injustifiées du Conseil Présidentiel de Transition (CPT), notamment les 400 millions de gourdes (plus de 3 millions de dollars) décaissés pour la célébration de la fête du drapeau, le 18 mai 2025, dans la ville du Cap-Haïtien. Selon le parti, cette somme n’a profité qu’à un petit cercle de privilégiés, en particulier à l’actuel président du conseil présidentiel de transition M. Fritz Alphonse Jean, au mépris des souffrances de la population. Au nom du peuple haïtien, nous condamnons fermement l’attitude irrespectueuse, insensible et malhonnête des neuf membres de ce Conseil qui s’enrichissent avec l’argent des contribuables.*

*Dans le cadre de sa lutte contre l’impunité, AKSYON PATRIYOTIK (A.P) annonce avoir entrepris des démarches internationales, notamment en engageant des pourparlers avec plusieurs élus étrangers, afin que les membres de l’actuel Conseil Présidentiel de Transition soient inclus dans les sanctions imposées par les Nations Unies à l’encontre de certains responsables politiques haïtiens. Ces démarches visent à dénoncer l’impunité et l’irresponsabilité de ces dirigeants, en appelant à l’application de mesures telles que le gel de leurs avoirs et la saisie de leurs biens dans des pays tels que les États-Unis, le Canada, ainsi que dans d’autres juridictions.*

*Enfin, le parti appelle la jeunesse haïtienne, les organisations politiques ainsi que tous les acteurs non alignés avec l’actuel Conseil Présidentiel de Transition (CPT) à se rallier à sa cause en vue de construire un nouvel avenir politique, guidé par les idéaux de nos ancêtres et tourné vers l’intérêt collectif*.

Fierté et engagement pour notre nation !

Fritzgerald CHEVALIER                    

Président

Fenley CIUS          

Vice-président aux affaires internationales 

Abed-Negod PAUL, Av.

 Secrétaire Général

Monsieur le Président,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre,
Mesdames, Messieurs, en vos grades et qualités,
Distingués invités,
Chères enseignantes, chers enseignants,

C’est avec une profonde gratitude et un immense respect que je me tiens devant vous aujourd’hui, en cette Journée Nationale qui vous est si justement dédiée. Au nom du Fonds National de l’Éducation (FNE), je m’associe avec enthousiasme au Ministère de l’Éducation Nationale et de la Formation Professionnelle, ainsi qu’à l’ensemble du Gouvernement de la République, pour saluer votre contribution inestimable aux efforts déployés par notre nation pour instruire, éduquer, former et cultiver les esprits brillants de nos enfants — l’avenir même de notre Haïti bien-aimée.

En ce jour solennel, force est de reconnaître la noblesse et la complexité du métier que vous exercez avec tant de dévouement. Vous êtes bien plus que de simples transmetteurs de savoir : vous êtes les architectes de l’esprit et les éveilleurs de conscience. Dans ce creuset qu’est l’école, foyer du savoir et de la compréhension du monde, vous accomplissez une mission essentielle : transmettre les connaissances fondamentales et éclairer les faits de civilisation qui constituent le précieux héritage de l’humanité.

Par vos interventions éclairées, vos cours soigneusement préparés et vos discussions enrichissantes, vous ne partagez pas uniquement de l’information. Vous façonnez les façons de penser, d’agir et de vivre ensemble. Vous offrez à vos élèves les outils intellectuels nécessaires pour comprendre la complexité du monde, développer leur esprit critique et construire leur identité au sein de la société.

Par votre engagement quotidien, vous êtes les fervents promoteurs de notre culture, de notre histoire et de nos valeurs. Vous aidez les jeunes à comprendre le parcours de l’humanité dans sa quête perpétuelle de progrès. En tant qu’acteurs et observateurs avisés de la vie sociale, vous êtes des passeurs culturels, des médiateurs précieux des objets de culture qui nourrissent notre patrimoine commun. Vous contribuez à former des esprits vifs, des volontés solides et des sensibilités humaines éclairées.

En aiguisant sans relâche l’esprit critique de vos élèves, vous portez la lourde responsabilité de les guider vers le respect des droits humains, l’adhésion aux valeurs démocratiques et la compréhension des règles qui fondent notre vivre-ensemble. Vous leur apprenez à devenir des citoyens responsables, éclairés et engagés, en respectant et en protégeant les valeurs républicaines.

Mesdames et Messieurs, Chers invités,

Dans un monde en perpétuelle mutation, face aux défis sociaux, économiques et culturels de notre époque, l’enseignant joue un rôle fondamental : il assure le lien entre les générations, crée un dialogue fécond entre le passé, le présent et l’avenir. Votre mission est d’initier les élèves à l’amour du vrai, du bien et du beau, ces piliers indispensables à une vie épanouie et à une société harmonieuse. Vous nourrissez leur curiosité intellectuelle, vous les encouragez à penser par eux-mêmes, et vous ouvrez la voie à la créativité et à l’innovation.

Cette journée est la vôtre. Le Fonds National de l’Éducation a tenu à être présent à vos côtés pour témoigner de l’importance qu’il accorde à cette cérémonie dédiée à votre profession. Les familles placent en vous leurs plus grands espoirs, et le FNE en est pleinement conscient. C’est pourquoi nous nous engageons à soutenir vos efforts avec détermination.

Depuis plus de deux ans, le Ministère de l’Éducation Nationale et de la Formation Professionnelle s’est doté d’un référentiel de compétences professionnelles de l’enseignant. Cet outil capital formalise les savoirs, les savoir-faire, le savoir-être et les compétences relationnelles qui définissent l’excellence dans votre métier. Il constitue un cadre essentiel, ancré dans la réalité des terrains et adapté à la diversité de nos contextes éducatifs.

En parfaite concertation avec le Ministère, le FNE a identifié la professionnalisation du métier d’enseignant comme l’un de ses six projets prioritaires à financer dès la rentrée scolaire de septembre 2025. Cet engagement témoigne de notre volonté ferme d’investir dans votre développement professionnel et de reconnaître la valeur profonde de votre travail.

Mesdames et Messieurs,

L’enseignant est un acteur central et irremplaçable du système éducatif national. Votre mission est profondément humaine : elle requiert énergie, passion et vocation. Vous accomplissez un travail exigeant, fondamental à la construction de la société de demain. Pourtant, vous n’avez pas toujours été reconnus à la hauteur de vos mérites. Il reste tellement de chemin à parcourir… mais c’est déjà là un bon début.

Vous mobilisez des compétences pointues, des stratégies pédagogiques novatrices et des qualités relationnelles rares pour faire face aux défis de l’enseignement. C’est pourquoi le FNE, à travers le Projet de professionnalisation du métier d’enseignant (PME), s’engage à contribuer de manière concrète à la reconnaissance de votre profession. Ce projet innovant permettra aux enseignants non diplômés de faire reconnaître leurs acquis professionnels. Il viendra aussi renforcer le pilotage stratégique de notre système éducatif en assurant la présence dans nos classes de professionnels qualifiés et motivés, au bénéfice de tous les élèves et de leurs familles.

Mes chères enseignantes, mes chers enseignants,

Vous portez la responsabilité de la réussite de chaque élève. Votre rigueur, votre implication et votre professionnalisme renforcent l’efficacité du secteur éducatif dans son ensemble. Et dans cette mission noble, le Fonds National de l’Éducation est à vos côtés. Résolument.

Le FNE souhaite exprimer sa reconnaissance de manière tangible. Ce geste symbolique que nous vous adressons aujourd’hui se veut une marque de notre profonde estime pour votre courage, votre persévérance et votre engagement à servir, avec sérieux et humanité, cette mission que la nation vous confie.

Au nom du Fonds National de l’Éducation, je vous adresse encore une fois mes plus sincères remerciements et tout mon respect. Que cette journée soit remplie de reconnaissance et de fierté pour le travail essentiel que vous accomplissez chaque jour.

Le FNE protège
Le FNE s’engage
Le FNE agit

Merci.